Grâce à son ami et confident Mika, Adèle découvre que les vieux bracelets qui dorment dans son grenier sont des bijoux celtes en or véritable. Elle se fait une joie d’annoncer la nouvelle à son père, dont le travail à l’usine est menacé par un plan social. Mais au même moment, le père d’Adèle est accusé du meurtre d’un de ses collègues. Alors qu’Adèle se retrouve seule dans le pavillon familial, elle reçoit un premier coup de fil anonyme…

Ce texte est déjà paru sous le titre de En noir et or. Il a été complètement réécrit.